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mardi 6 octobre 2015

Astra Mora




Bonjour!
Excusez moi de
 n'avoir pas publié la semaine dernière.
C'est donc aujourd'hui que je 
publie le chapitre 20 de ce roman.


Bonne lecture,.

TanakaCloarec


Astra Mora.

Prologue.

Je sentis ma dernière heure arrivée.
« Non, c’est un cauchemar, rien qu’un cauchemar, je vais me réveiller ! », me disais-je.
Pour vérifier que c’étais vraiment un cauchemar, je fermais les yeux. Grossière erreur. Je sentis un souffle me parcourir la nuque. J’entendis des crissements de pas sur les graviers. Je n’osais plus ouvrir les yeux. Une voix me murmura dans l’oreille.
« Que tu es belle. Quel gâchis ce serait de te dévorer…. A moins que… »
« Que quoi ? », pensai je.
Un frisson glacial me parcourut le dos.
Je sentis quelque chose de froid se déposer sur mon cou. J’y portais la main. Je sentis un objet mou
Je rouvrais les yeux, et ce que je vis me fit reculer, puis trébucher. (la chose à éviter absolument lorsque vous êtes au point de vous faire dévorer, vous me suivez ?)Il se rapprocha de moi. Ses crocs reflétaient une jeune fille à l’air terrorisé, ses yeux jaunes brillaient d’une lueur malicieuse.
Je ne bougeais plus, pétrifiée.
Soudain, il bondit sur moi, son prochain dîner.



Chapitre1

Présentations

Je me présente :Astra.
Jeune fille brune, yeux bruns et verts, oreilles en pointes, façon elfe, crocs pointus, comme un loup-garou.
Tout à fait normale. Enfin, c’est ce que je me dis. Sûrement pas vous.
Je déteste l’oignon. ça, par contre, c’est bizarre. Et j’aime aller à la plage, l’été en maillot de bain, et, pour couronner le tout, je ne vis plus sur Terre depuis quelques temps.
OK. Je vous vois venir :
Oui, elle raconte vraiment n’importe quoi, ce sera quo la prochaine fois, elle va nous dire qu’elle n’est pas humaine ???
Et bien, pour tout vous dire, non, je ne suis pas humaine. Je ne suis ni elfe, ni loup-garou (donc, mes oreilles pointues et mes crocs reste un mystère.), mais je suis une Vampyr. Oui, une Vampyr, avec un  Y.
Et croyez moi, je suis anormale, pour une Vampyr.
Je menais une petite vie tranquille, dans ma maison, avec ma mère (je n’avais jamais vu mon père), mes amis,et ma best friend*,Kaira.

Tout allais bien. Jusqu’à ce jour. Le jour où IL est arrivé.


*best friend(en anglais): meilleure amie



Chapitre 2
Des soucis, et des amis

C'était un jour de rentrée scolaire, après les vacances de Noël. Vous savez, lorsqu'il y a des sapins de noël pleins de décos de Noël dans chaque village, où des pères noëls se baladent en demandant aux enfants leur liste de cadeaux, les boutiques lumineuses, les guirlandes dans le ciel plein d'étoiles, et les promos de noël.
Bref. J'étais sur le chemin du lycée, lorsque je vis l'ombre d'un animal étrange. Avant que j'aie pu m'en approcher, elle s'effaça si rapidement que mes yeux ne purent la suivre. Je continuais mon chemin, troublée, avec un peu d’appréhension quand même .
« Astra ! » je me retourne. C'est Kaira.
« Que fais tu ici ?, je lui demande.
-Je viens en cours, comme d'hab !
-Heuuu, dans la rue ? Répondis-je, interloquée.
-Houlà, es-tu sûre d'être bien réveillée ? »me demande-t-elle, une expression inquiète sur le visage.
Je regarde autour de moi, sans comprendre ce que ce paysage fait là. Je vois un grand bâtiment orange, vert, rose et bleu se dresse devant nous. A coté se trouve un petit verger et une grande cour grise : mon lycée.
« je suis déjà arrivée ? , m'étonnais-je.
-Oui. Tu es sûre d'aller bien , L'infirmière ouvre dans 10 minutes, tu veux y aller , J'ai des barres de céréales, si tu veux, tu n’a pas l'air dans ton assiette ce matin. Demanda Kaira
-Oui, tout à fait comme d'habitude, et je me sens très bien ! Répondis-je avec un air exaspéré .
-tant mieux.
-Je dois... Passer à la cafétéria, le cuisinier m'a demandé de l'aide...
-Ah... Tu sais, en ce moment, tu es un peu... « 
Je n'entendis pas la fin de sa phrase, elle s'est bloquée dans sa gorge.
« Je suis ??? quémandais-je
-Tu es étrange en ce moment, tu arrives en avance au lycée pour disparaître au bout de 5 minutes, et tu ne réapparais qu(au moment d'aller en cours.
-je le sais, mais je ne peux pas faire autrement, et je ne dois pas te dire pourquoi je fais cela et où je vais car sinon, tu risque de... Je murmure
-Je risque de ???
-De...De mourir. Je répond d'une toute petite voix
-Que...quoi ? Dit-elle faiblement avant de tomber, inerte, dans mes bras.


Chapitre 3
Un combat étrange

« vite, il faut la conduire à l'infirmerie !!!! je crie
-que se passe-t-il ici ? C'était Maénie, une surveillante, qui c'était approchée .
-Kaira est tombée dans les pommes !!!!
-Il faut appeler l’infirmière
-je m'en charge ! »
Je me mets à courir à l'infirmerie. Coup de chance, l'infirmière est là.
« Madame, madame ! Je crie
-Qu'y a t-il ?
-Kaira ! Elle est tombée dans les pommes !!
-J'arrive, ou est-elle située ? En face de la cafétéria. »
Je laisse l'infirmière partir vers Kaira. Soudain, se rendant compte que je ne la suivait pas, elle m'interpelle :
« Viens, qu'attends tu ?
-Je dois... hue... Je dois passer aux toilettes, je vous rejoint.
-Dépêche toi s'il te-plaît !
-Oui, oui, c'est promis ! »
L'infirmière reprends sa course, et je me glisse dans les toilettes. Je savais bien qu'elle vérifierai que j'allais vraiment aux toilettes. J'attendis une petite minute avant de partir en courant vers la cafétéria. Au lieu de passer par la porte d'entrée, je passe par le mur. Je vous explique : sur le mur de la cafèt, il y a des briques qui, lorsqu'on les enfonce, elles ouvrent un passage secret tellement minuscule que je dois baisser les oreilles pour ne pas me faire mal ;
Bref. Je passe donc dans le passage, et je débouche enfin dans le réfectoire. Ici, je lâche un hurlement que seul les loups peuvent entendre. Une table s'envole, puis se sépare en deux. Je m'engouffre entre les deux morceaux de la table. Je débouche dans une grotte très éclairée, puis je m'avance en son centre.
«  IDENTIFICATION. NOM, PRENOM, MOT DE PASSE ET RACE DE CREATURE. »
Tonna une voix robotisée.
« Mora, Astra, ….........(hurlement de louve, mon mot de passe que seul moi peut émettre), Vampyr dominant elfe et louve-garou. »
je répondis à la voix .
«  IDENTIFICATION ACCEPTEE. OUVERTURE DES PORTES. »
Une porte s'ouvrit, et une ravissante jeune femme en sortit. Soudain, sans prévenir, elle se transforma en une louve et me bondit dessus. Mes instincts d'elfes surnaturels me firent esquiver son attaque à une vitesse fulgurante. Elle continua de m'attaquer, et à chaque fois, je l'esquivait. Soudain, elle poussa un long hurlement. La porte, qui s'était refermé lors de notre combat, s'ouvrit, interrompant notre combat. Un ravissant jeune homme en sortit. Il poussa un bouton, ce qui provoqua la fermeture de la porte. Il ne se transforma pas. Il s'approcha de moi et siffla de contentement. Je compris. C'était un vampyr. Je me préparait à l'attaque. Je sifflait ,en retour, de mes crocs pointus, pour lui signifier que j'étais prête. Il sourit, dévoilant des canines blanches très longues. Il bondit. Je me défendis. La louve attaqua à son tour. Ils continuèrent à m'attaquer, parfois à tour de rôle, parfois en même temps . Je réussi à me battre de mon mieux et les envoyait plusieurs fois au tapis. Eux m'y envoyèrent tellement de fois que je cessais de les compter. Soudain, ils se regardèrent, du regard qui dit « Tu vois, elle est essoufflée, c'est le moment de lui porter le coup de grâce, tu crois pas ? ».Et ils bondirent sur moi. Je reçut des coups de crocs et de griffes. J'avais mal, je n'arrivais plu à me défendre. Je m'allongeait par terre et hurlait, en me transformant en louve. Mes blessures se guérirent peu à peu, et je m'assit, fixant mes adversaires. Ils comprirent qu'ils avaient gagné. Ils se retransformèrent, enfin, si on peut dire que lorsqu'un vampyr cache ses crocs, c'est qu'il se retransforme .

Pas moi. J'attendais que toutes mes plaies soient refermées. Ceci fait, je me transformait à mon tour en humaine. 


Chapitre 4
La dispute ou, lorsqu'on crie très fort
et que quelqu’un crie encore plus fort
pour vous faire taire, cela peut attirer
des bestioles pleines de pattes.

« Bien. Tu t'es bien débrouillée. » C'était la louve garou.
« Oui, pour une fois, tu as réussi à nous mettre au tapis, lorsque l'on t'attaquait à tour de rôle. Lança le vampyr.
-cela te sera un précieux atout lors des combats seul à seul. En revanche, commença la louve, lors des attaques doubles, tu étais trop lente.
-Il faut que tu sois plus rapide, car si tu combat contre un vampyr ET une louve-garou, tu as l'interdiction formelle de traîner la patte.
-Mais j'ai fait de mon mieux ! Protestais-je.
-Certes, mais tu dois puiser de l'énergie dans les moindres recoins de ton corps si tu veux pouvoir nous combattre un jour.
-Mais, Darigosh, je fais de mon mieux, je te dis !!!
-Justement, non, petite demoiselle !!!
-Je ne suis pas petite, c'est toi qui es grand, d'abord !!!!
-Si ! Tu es une sale petite gamine !!!
-Et toi, un vieux grand dadais !!!
-PARLE PLUS FORT , JE NE T'ENDENDS PAS !!!
-C'EST CA, JE PARLES ASSEZ FORT POUR TE CASSER LES OREILLES, MAIS TU N'ES Q'UN GRAND DADAIS SOURD !!!!!
-STOOOOOOOOOOP ! Hurla la louve. VOUS NE POUVEZ PAS VOUS PARLER SANS QUE CELA DEGENERE ? SI VOUS CONTINUEZ A HURLER COMME CE, CE N'EST PAS UNIQUEMENT MOI QUI VAIS VOUS ENTENDRE, MAIS TOUT LE COLLEGE !!!!!!!!!
-Bon, bon, ne t'énerves pas on va se calmer. Dit calmement Darigosh.
-AH, MAIS NON, MONSIEUR DARIGOSH !!!! VOUS N'ALLEZ PAS VOUS CALMER !!!
-Mais on va quoi, alors ??? demandais-je, perdue
-VOUS VOUS CALMEZ IMMEDIATEMENT !!!!!!
-D'accord Meleth !!! dis-je en même temps que Darigosh.
-Merci », approuva la louve, visiblement à bout de souffle après avoir hurlé aussi fort.

Soudain, on entendit un fracas de verre brisé venant de la pièce d'à côté. Nous y allons en courant, et ce que l'on y découvre nous laisse pétrifiés d'horreur. Un araignée géante, velue comme jamais, ses huit petits yeux rouges nous fixant. Et, sur son dos velu, Maénie, un sourire diabolique sur les lèvres.


Chapitre 5
Maénie l'aragne
ou monter une aragne et ne pas
se faire manger au meilleur
moment de sa quête, c'est pas simple.

«  Maénie !, je m’exclame, surprise
-Oui, je vois que tu as retenu mon prénom, répliqua l’intéressée.
-Que faites vous ici ? Vous n'avez pas le droit de venir ici !!! s’exclama Darigosh
-Qui plus est, avec une aragne mortelle!!! renchérit Meleth
-J'ai plusieurs choses à vous dire, et il vaut mieux être assis si vous ne voulez pas tomber à la renverse, lâcha la cavalière en leur désignant les fauteuils moelleux installée autour d'une petit table en bois, dans l'un des coins de la salle d'échauffement de la partie cachée du self.
Méfiants, Meleth et Darigosh ne suivirent pas son conseil, à l'inverse de moi, qui, docile, allait m'asseoir dans un fauteuil lorsque Darigosh montre les crocs, le signal qui disait « si tu fais quoi que ce soit,je te dévore, capich? ». je me relevais au moment où j'allais poser mon postérieur sur le fauteuil. A peine ais-je fais un pas que le fauteuil explosa. Bien. Ne JAMAIS s'asseoir sur un fauteuil avant de l'avoir inspecté sous tous les angles.
-nous t'écoutons, dis Meleth d'un ton froid
-Bon. Premièrement, je suis au courant de tous vos petits jeux, c'est pourquoi j'ai suivi Astra. J'ai reproduit le code qu'elle avait fait avant moi, mais, arrivée dans cette salle, j'ai vu Astra entrer dans la pièce, et, au moment ou j'allais me lancer à sa poursuite, quelqu'un m'a appelé pour me dire que je ne parviendrais pas à pénétrer dans la salle d’entraînement si je n'avais pas le cri d'Astra sous la main. Je ne l'ai pas cru, et ai essayé des tas de mots, de bruits et de phrases, mais rien n'a fonctionné. Je suis allée dans la cuisine et j'ai déclenché un passage secret avant de dire un mot de passe, provoquant l'ouverture d'une salle spéciale : la tanière de mes aragnes chéries. Au fait, je vous présente Gypsy, la plus jeune.
A son nom, l'aragne s'ébroua, manquant de désarçonner sa cavalière.
-Oui, on s'en doutait un peu.répondit Meleth
-Continues, dit darigosh d'un ton encore plus froid que celui de Meleth
-Oui. Deuxièmement, ce que je vais dire là ne concerne qu'Astra,étant donné que je suppose que êtes au courant.dit Maénie à l'intention de la louve et du vampyr. Astra, tu as dù remarquer que, sur la fiche des surveillants, il est marqué « Maénie Mora ».
-Oui, c'est vrai. Je répondis-je-Tu as demandé à tes parents si je faisait partie de ta famille ?
-Oui, dis-je, intriguée. Ils m'ont répondu que non, que plusieurs familles peuvent avoir le même nom de famille. J’ai aussi demandé à Darigosh, Elseth, Mamie Vamp, Papy Pyr,
mamie Bepha et Papy Alpha, et tous m'ont répondu la même chose que papa et maman.
-Ils t'ont tous mentis. assena Maénie
-Quoi ?
-Je suis ta tante.

-NON, C'EST IMPOSSIBLE !!!! criais-je avant de m'évanouir.

Chapitre 6
Évanouissements et compagnie
ou un bocal à cornichon
ça peut faire très peur.

Je me réveillais dans l'infirmerie, allongée dans un lit aux draps blancs. J'essaye de m'asseoir, mais mes jambes me font trop mal. Je pousse un cri de douleur avant de me laisser retomber sur l'oreiller. La douleur me submerge d'un seul coup, et je m' évanouis de nouveau.
Lorsque je me réveille à nouveau, je réussi à m'asseoir dans mon lit.
« Il y a quelqu'un , je demande d'une voix ensommeillée.
-Astra ! Enfin, tu es réveillée !!!
-Kaira ? C'est toi ?
-oui, c'est moi, me répond mon amie.
-Tu vas bien ?
-Oui, je suis en pleine forme, mais c'est plutôt à toi que je pose la question !!! me répond mon amie
-Je me sent plutôt bien. J'ai dormi combien de temps ?
-Une semaine.
Soudain, je suis de panique. Qui m'a ramenée à l'infirmerie ? Quelqu'un as-t-il vu la salle d’entraînement ? Et L'aragne ? Quelqu'un l'as vue ? Darigosh et Meleth, où sont-ils ?
-Qui m'a ramenée ?
-Un gars aux dents pointues, une dame avec de longs ongles et de grandes dents, et Maénie, elle avait une araignée avec elle.
-QOUI ? Une araignée ? Grande comment ? Mètre de haut?mètres de large ?
-non, pas du tout Astra ! Une petite araignée velue dans un bocal de cornichon ! Me répond Kaira
Les inconnus vous ont donné leur nom ?
-oui, le gars s'appelait Dagoch et la fine Elet je crois.
-Darigosh et Meleth !!! où sont-ils ?
-Dans la salle d'attente. Tu veux les voir ?
-oui, va les chercher s'il te plaît.
-Pas de soucis ma vieille !!! »
En attendant Kaira, je réfléchis à ce qu'elle m'a dit. Gypsy pourrait prendre la forme 'une araignée normale ? Intéressant.
« Astra ? Tu voulais nous voir ?
-Meleth ! Darigosh !!! Je suis super contente de vous voir !!!
-Bon, je vais vous laisser murmura mon amie.
-Merci, lui répondais-je en lui adressant un clin d’œil .
-tu nous a fait une peur bleue ma chérie, ne recommence plus jamais !!! s’exclama Meleth.
--Ta...tante est à la maison où a lieu un interrogatoire magique .
-Dis bonjour à Gypsy me lance Darigosh en me montrant un bocal un cornichon.
-AAAAAAAAAAHHHHHH !!!! criais-je avant de m'évanouir de nouveau.



Chapitre 7
Kaira
ou, parfois, on croit tout
savoir sur sa meilleure
amie, mais en fait,
pas du tout.


Lorsque je me réveille à nouveau, une énorme affiches est installée sur le mur.Je le vois scintiller d'une lumière bleuté, et je comprends alors qu'il s'agit d'une affiche magique, donc que seul les races magiques (sorciers compris) peuvent la voir. Soudain, le dessin qui se trouve dessus se met à remuer. Je le regarde plus attentivement, puis je m'aperçois que, en fait, il s'agit d'une araignée fort ressemblante à Gypsy, est en train de galoper vers moi à une vitesse folle !!! Je hurle de terreur, alertant Meleth qui accourt.
« Que se passe-t-il ici ! Demande-t-elle.
-Là, sur le mur !!! je m'écrie
-Quoi, sur mu... AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!! crie-t-elle à son tour.
-Mais enfin, vous avez fini de hurler, c'est vraiment insupo....... AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, AU SECOUUUUUUUUUURS !!!!!! s’exclame Kaira en entrant dans la salle.
-Stop, arrêtez donc de hurler comme des dingues enfin !!! Crie Darigosh en entrant à on tour.
-Mais, Darigosh, tu ne vois pas l'araignée qui te fonce dessus ? ATTENTIOOOOOOOOOOOOON !!! je m’exclame en même temps que Meleth.
-Bon, les filles, calmez vous. Ce n'est qu'une illusion, dit il en claquant des doigts, faisant disparaître l'image.
-Mais enfin, qu’est ce qui t'a pris de faire ça, s'exclama Meleth
-A la base, c'était juste destiné à faire hurler Astra, expliqua-t-il. Mais tu as crié aussi, Meleth, ainsi que toi, jeune humaine, dit il en désignant Kaira.
-C'était affreux monsieur, mais, vous êtes humain aussi, non ? Dit-elle en commençant à rire.
-Non. »
Cela stoppa net le gloussement de Kaira.
«-Comment ça, non?dit-elle médusée.
-Tu vas bien voir.répondit le vampyr.
-Darigosh, tu ne va pas lui montrer tout de même ! Je lui demande
-Si !
-Et moi aussi, d'ailleurs, s’exclama Meleth jusque la silencieuse.
-Non, Meleth !
-Si !
-Mais enfin, vous voyez bien su'elle n'est pas...
-Si, elle l'est, dit Darigosh
-..............., fut la seule chose que je répondis
-Tu as bien vu qu'elle a crié en voyant l'aragne, non ? Me demande Meleth
-Oui, mais...
-Mais seul les humains ne peuvent voir ce genre d'illusion, Astra.
-Vous voulez dire qu'elle serait …
-Oui, c'est ça, s’exclamèrent Meleth et Darigosh.
Bon. » Je lance alors un jet de magie en direction de la porte, de sorte à la fermer à clef.
-Bon, tiens toi prête, Kaira.
-D'accord, me dit elle en serrant les dents.
-Je le fais aussi. Et en mixte.
-Tu es sûr, me demande Meleth
-Oui.
-Bon, à trois alors ! Dit Darigosh.
-1.........., 2.........., 3 ! » Au trois, Darigosh se transforma en vampyr, Meleth en louve-garou, et moi, en louve-vampyr, tel que j'avais baptisé cette apparence que je peux prendre :
Jeune femme (oui, oui, je ne plaisante pas!) aux cheveux noirs tombant sur mes épaules, teint mat, oreilles de louve, canines de vampyr et dents de louve, ainsi que mes oreilles d'elfe .
-Waouh ! C'est trop top ! S’exclama Kaira. Mais comment vous faites ? Astra, pourquoi tu me l'a caché tout ce temps ? C'est génial !!! Je peux la faire, moi aussi ?
-Du calme, demoiselle, lui intima Darigosh. Pour répondre à tes question, On n'a pas de « truc » pour se transformer, c'est dans nos gènes. Astra ta l'a caché, car nous ne devons le montrer à quiconque, et , c'est à toi et toi seule de voir si tu peux également le faire.
-D'accord ! Vous avez un truc qui pourrait m'aider ?
-Oui, lui répondit Meleth. Concentre toi, ferme les yeux, et cherche au plus profond de tes gènes ce qui, à ton avais, permettrait que tu te transforme.
-D'accord ! »
Soudain, sans prévenir, Kaira s'envola, puis se transforma en une elfe.... magnifique.

Ses cheveux se colorèrent en violet foncé, ondulés, lâchés sur ses épaules, ses yeux se colorèrent en violet, une robe violette courte, magnifique, la vêtit, des chaussures à talon ouvertes sur le dessus, violettes, la chaussèrent, et ses oreilles s’allongèrent, formant de parfaites oreilles d'elfe.


Chapitre 8
Encore des présentation,
ou, les signes du mariage
non-humain.

-Kaira, c'est toi ? Je demande
-Waouh ! Il est trop top ce costume d'elfe ! Si c'est ça, e métamorphoser, je veux bien rester comme ça toute ma vie ! S'exlame-t-elle.
-C'est vrai que tu es ravissante, lâcha Meleth
-Malheureusement, tu ne peux pas rester sous ta forme elfique, ma petite.
-Ah bon ? Fit Kaira, déçue
-non. Si jamais un humain nous voyait, il se poserait des questions, alerterait la police, et c'en serait fini du peuple des créatures sortalières
-Mais c'est horrible !
-Oui. C'est pour cela que, si on veut rester en vie, il nous faut cacher nos pouvoirs, quels qu'ils soient.
-Bon, j'ai compris. »
La ravissante elfe laissa place à la jeune fille brune que je connaissait si bien.
-Bon, c'est pas tout ça, mais un interrogatoire à lieu à la maison, je te rappelle ! S’exclama Darigosh.
-Ah oui, c'est vrai.
-Je peux venir avec vous ? Demande Kaira
-Oui, bien sûr !! je répondais
-Non ! Répond Darigosh
-Pourquoi non ? Vous avez peur que je sois trop fragile pour voir en face un vrai interrogatoire.... Magique ?, Je vous rappelle que je peux me transformer à volonté en elfe, et je suppose que des pouvoirs feront surface lorsque je serais en danger, donc, je vous suis !
-Bon, tu as gagné, petite maligne ! S’exclame Meleth. En route ! »
Alors que la petite troupe cheminait vers la maison d'Astra,
L'ombre qu'elle avait vue le matin de décembre se faufila derrière eux.
-C'est nouuuuuus ! Je m’exclame
-Astra ! Ma chérie ! S'écrie ma mère. C'est une grande femme aux cheveux violets, tranchés par quelques mèches vert anis. Ses grands yeux sont dorés, sa bouche fine et rouge, et elle a un goût vestimentaire très...Particulier lorsque l'on ne la connaît pas. Ah ! Et c'est une elfe.
-Tu es rentrée ! Je me suis fait du souci pour toi ! Dit alors mon père en entrant dans le vestibule. C'est un homme grand, plutôt mince, élégant. Il a des yeux rouges, et des cheveux noirs d'encre. Quelques mèches vert anis tranchent de ça, delà ses cheveux. C'est un vampyr.

Si mes parents ont tous deux quelques mèches vertes dans leur chevelure, c'est parce que... Eh bien, ils sont tout simplement mariés ! Les humains mettent des alliances, et les sorciers se teintent des mèches (couleur indélébile) de cheveux !



Chapitre 9
Les particularités
de la famille Mora,
ou être au soleil peut
s'avérer dangereux.


-Ma petite chérie !
-Mamie Vamp ! Je suis très contente de te voir !
-Moi aussi ma petite.me répond ma grand-mère. C'est une femme plutôt âgée, avec des cheveux argentés, mais elle est très combative Lorsqu'il s'agit de pouvoirs magiques.
-Tiens, mon petit doigt m'a dit que tu étais rentrée ! S’exclama mon grand-père en entrant dans la pièce à son tour.
-Papy Pyr !
C'est un homme grand, plutôt mince, avec des cheveux noirs tranchés de quelques mèches argentées. Lui et mamie Vamp sont mariés, mais comme ils ont hérités de mèches argentées à leur mariage, on ne voit pas ces quelques mèches dans la chevelure abondante de ma grand-mère. Certes, elle a les cheveux blanc/argentés, alors que mon grand-père en a des noirs. En fait, c'est tout simplement que ma grand-mère a été exposée au soleil pendant 15 ans (ses 15 premières années de vie en fait), ses cheveux ont donc décolorés. Elle a survécu, bien heureusement, grâce à papy Pyr, qui l'a sauvée de la clairière où elle vivait avec ses parents. Ils tombèrent amoureux, et finirent par se marier.
-Mon petit cœur ! S'exlame-t-il 
-Je sais que ce n'est pas don petit doigt qui t'as dit cela !
-Mhhhhoui, c'est vrai. Quelle perspicacité, jeune fille !
-Ce ne serait pas Cristalline qui te l'aurais dit ?

-Si, c'est bien elle. Cette boule de cristal est très prévoyante ! » Mon grand-père est un vampyr, certes, mais il étudie la magie des boules de cristal. La sienne est dotée d'un conscience, et, par conséquent, elle est vivante. Mon grand-père l'a donc nommée Cristalline.



Chapitre 10
L'interrogatoire magique
ou un ballon vert peut
faire plus ou moins de
dégâts, selon la corpulence
de la personne/bestiole
à sa poursuite.

« Et si on allait interroger l'accusée ? , lança Darigosh
-Oui, c'est ce pourquoi nous sommes revenus, nous aimerions donc la voir. Ajouta Meleth.
-Je peux venir aussi ? Demanda mon amie.
-Évidemment, toute personne ayant un aura magique se doit d'être acceptée lors des interrogatoires magiques.
-Chouette ! Répondit Kaira
-Je... Je viens aussi, j'annonce en serrant les dents.
Nous pénétrons dans la cave. Maénie se tient devant nous, assise sur une chaise, les pieds et les mains liés à l'aide de cordes humaines, et d'un puissant sortilège de cordage de feuilles tressées. C'est ma mère qui l'a lancé (le sortilège hein, pas je ne sais quoi d'autre!). Elle et mon père possèdent la magie des plantes, car, à leur mariage, c'est ce genre de magie qu'ils ont tous deux choisis, d’où la couleur verte de leurs mèches de cheveux. Mamie Vamp et Papy Pyr, eux, ont choisi la magie des montagnes, tout ce qui est en rapport avec la neige.
Mon estomac est noué, et il me fait de telles crampes que je grimace en me retenant difficilement de me plier en deux. Non, je pense, je n'ai pas peur de Maénie. De Gypsy, peut-être, mais pas de Maénie. Ma tante. En pensant à cela, mon cœur se serre. Pourquoi ma famille est allée jusqu'à me mentir pour préserver ce secret ? Pourquoi ma tant a-t-elle un regard si dur, si froid lorsqu'elle regarde les membres de ma familles ? Pourquoi ce regard glacé se transforme-t-il en un regard bienveillant lorsqu'il se pose sur moi ? Tiens, en parlant de bienveillance … Où sont Mamie Bepha et Papy Alpha ? Si cela dégénère, ils doivent être là, ils peuvent tout faire avec leur magie électrique !
« Bonjour, ma nièce ! S’exclame Maénie.
Je sors de ma torpeur.
-Mmhh. Je réponds
-Et bien, on ne dit pas bonjour à sa tante ?
-Bonjour, ma tante., je réponds.
-Non, pas « ma tante ». Je préfère Mali.
-Pourquoi Mali ?
-C'est un joli raccourci de Maénie.
-Ah. Bonjour Mali.
-Tiens ! Mais voilà autre chose ! S'écria Mali en désignant Kaira.
-C'est Maénie, votre accusée ? Demanda mon amie
-Oui, répondit mon père d'un air maussade.
-Vous vous trompez, je la connais, elle est pionne au lycée. Dit Kaira
-Oui, et c'est aussi ma tante, une personne qui souhaite ma mort. Je réponds d'une voix morne
-Tout à fait. Lâche Maénie.
-Ah, OK.
-Commençons. Dit Papy Pyr.
-Première question, prononça Mamie Vamp. Où se trouve la jeune aragne sur laquelle tu était lorsque tu as attaqué Astra ?
-Vous le saurez bien assez tôt, grogne Mali
-Comment ça ? Demanda mon père
-J'ai dit : vous le saurez bien assez tôt ! Grommelle Maénie
-Bon. Question suivante:Pourquoi t'en est tu prise à Astra ? Demande ma mère
-La réponse est simple. Je me suis dit que, si je l'enlevait, ou même la tuait, mon maître serait ravi.
-Bien. Et qui est ton maître ?
-Je ne le dirait pas !
-PARLE ! S’exclame une voix venant des escaliers. Je me retourne. Face à moi se trouve Mamie Bapha et Papy Alpha.
-JAMAIS ! Crie ma tante.
-PARLE ! Hurle mon grand-père en lui envoyant une puissante décharge électrique, pendant que ma grand-mère, elle, lui envoie un éclair énorme.
Foudroyée, Maénie décide de parler.
-Mon maître est...

Elle ne finit pas sa phrase. Un vacarme assourdissant retentit dans la maison. Nous nous apprêtons à monter, lorsqu'un ballon vert vient flotter dans la cave...


Chapitre 11
Le ballon vert
ou la chanson « L'araignée
Gypsy » prend tout son sens.

« Un ballon ? Je demande
-Oui, mais un vert ! S’exclame Kaira.
-HAHAHAHAHAHAHA !!! s'écrie Maénie
-Il n'y a rien de drôle là dedans Maénie ! Crache papy Alpha entre ses dents.
-Ooooooooooooooooh, mes pauvres choux ! Vous n'avez toujours pas compris ? Minaude ma tante.
-Compris quoi ? Demande maie Vamp en feulant.
-Vous me décevez beaucoup, mère. Riposte Maénie
-Mère ! Mamie, elle est ta fille ? Je m'écrie
-Oui, ma petite puce.
-Maman ! Tu ne nous avais jamais dit, à Jason et moi, que tu avais une sœur ! Je m'écrie
-Désolée de te l'avoir caché, ma chérie. Murmure ma mère
-Me l'avoir caché ? Et Jason alors ? Je demande
-Ton frère est au courant depuis un an. Répond mon père
-Ah bon ?
-Oui, avec le reste de la famille, nous avions décidé de révéler que Maénie était ma sœur à mes enfants lorsqu'ils auraient atteint les 18 ans. Or, Jason a eu 18 ans en avril dernier, et toi, tu n'a que 17 ans.
-Mmhh... Si vous souhaitiez nous cacher ce « petit détail », c'est qu'elle a du commettre un crime horrible ! Je marmonne.
-C'est vrai ça ! Vous m'avez dit qu'elle était la sœur de maman, mais pas ce qu'elle avait fait pour être bannie de la famille !!! s’exclame une voix masculine au dessus de nos têtes.
Je me retourne.
-Jason ! Je m'écrie en lui sautant au cou.
-Coucou tout le monde !
-Bonjour Jason ! S’exclame tout le monde.
Jason sourit, laissant vagabonder son regard de visage en visage. Soudain, ses traits se durcissent.
-Ah. Tu es là aussi toi. Grogne-t-il en jetant un regard noir à Maénie.
-Mon cher neveu ! Minaude Maénie
Jason lui tire la langue, puis s'adresse de nouveau à nous.

-Et, au fait, je suis trèèès content de vous revoir, tous, mais.... Vous pouvez m'expliquer pourquoi un aragne s'amuse à monter à la gouttière, puis glisse lorsqu'il se met soudainement à pleuvoir ? Sans oublier qu'elle remonte lorsque le soleil revient !!!


Chapitre 12
Nikaji,
ou, un joli elfe,
c'est pas forcément chouette.

Une explosion retentit, faisant trembler les murs de la maison. Maénie esquisse un sourire.
«Ça y est. Il l'a amenée et il la dirige droit sur la porte! », murmura-t-elle.
Affolée, ma famille ouvre grand ses oreilles, le regard passant partout où il le peux. Soudain, un ballon vert apparaît. Ah, non en fait. C'est le même que tout à l'heure. Sauf que, cette fois, c'est un elfe qui le tient dans sa main. Un bel elfe d'ailleurs. Magnifique, même. Il a une longue chevelure argentée, tranchée de mèches brunes. Il a des yeux d'un bleu-gris absolument ravissants. Il es vêtu d'un t-shirt et d'un pantalon qui mettent en valeur ses muscles.
« Bonjour ! » Dit-il.
Et en plus, il a une voix d'ange ! Il est vraiment parfais !
« Hum hum... Eh, oh, tu m'entends ? Insiste-t-il
Mince ! C'est à moi qu'il parle !
-Bon.... Bonjour ! Je lui répond.
-Comment Tu t'appelle ? Me demande-t-il
-Astra. Et toi ?
-Nikaji. C'est Japonais, précisa-t-il.
-C'est très joli comme nom ! « Je m'exclame, encore plus sous le charme. Après, je ne l'écoute plus, plongée dans la contemplation de son visage et de son corps parfaits. Je suis tellement concentrée que je ne le vois pas lâcher le ballon. Je ne le vois pas non plus s'approcher de Maénie, son image étant gravée dans mon esprit. Je ne le vois pas la prendre dans ses bras. Je ne le vois pas lui déposer un baiser sur sa joue. Je ne l'entends pas lui murmurer qu'elle lui a manqué, et qu'a cause d'elle, il a du s'occuper seul de ses frères et sœurs. Je ne l’entends pas li murmurer : « mère... ». Ah, si, en fait, je l'ai entendu.
J'ai juste le temps de penser que tout ces points colorés autours de moi sont supers beaux, et je sombre dans le noir le plus complet.

Chapitre 13
Nikaji,
ou un baiser brûlant
à votre réveil peut
vous rendormir...

Je me réveille. Mes paupières sont trop lourdes pour que je puisse les ouvrir. Je bouge mes main. Aïe ! Ça fait mal ! Bon, voyons voir l'état de mes jambes... Ouillouillouille ! C'est douloureux ! Tiens, j'entends des voix au dessus de moi. Serais-je une descendante de Jeanne d'Arc ? Non, impossible, elle n'entendais pas la voix de ma famille. Bon, j'essaie de parler pour le dire que, eh oui, je suis encore là, parmi les vivants. Aouch ! Je ne peux pas remuer les lèvres. Je me les humecte. Je sens quelque chose de liquide couler sur ma langue. Ah. Du sang. Mauvais signe. Bon. Et mon bassin alors ? Peut-être qu'il es encore en super forme ! Ça m’étonnerait, mais j’essaie quand même. Non. Il es douloureux. Tiens, il parlent plus fort. Qu'est ce qu'ils disent ? J'arrive a choper quelques bribes de leur conversation.
« …..la prévenir.....un peu fou......aragne.......sa tante.......ballon vert.........explosions......se réveiller.......parler moins fort au cas où..... »
Ah ? Tiens. Ils ne veulent pas que je les entende ? Dommage. J'aurais bien aimé savoir pourquoi j'ai mal partout ! Allez, force toi Astra ! Articule quelque chose.
« Adebligh.., je prononce du bout des lèvres.
-Astra ? Tu es réveillée ?
-Ahhhhh..... Oui, j'articule péniblement.
-Ma chérie !
-Dites, vous pouvez me dire pourquoi je ne peux pas ouvrir les yeux ?
-Attends, je vais te l'enlever. »
Je sens un poids quitter soudainement on visage. Il se décolle lentement de mes paupières, et j'arrive à ouvrir les yeux ni plus ni moins sans avoir mal. Autour de moi sont réunis mes grand-parents paternels et maternels, mes parents, mon frère, Nikaji et.... Maénie.
« Nous sommes contents que tu t'en sortes si bien ! Déclara papy Alpha

-Vous pouvez m'expliquer pourquoi j'ai mal part... », je commence. Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, car ma mère ma pris dans ses bras. Elle dépose un baiser sur ma joue. Puis, toute ma famille vient à mon chevet pour me prendre dans ses bras et me faire un bisou. Maénie comprise. Lorsque Nikaji s'approche de moi, je sens mon cœur s’affoler dans ma poitrine. Mais il se contente de m'ébouriffer les cheveux et me souriant. Tout le monde, soulagé, forme un cercle pour discuter à voix basse. Nikaji reste seul dans son coin. Il s'approche de moi et me prend la main. Soudain, sans prévenir, il se penche vers moi, et, dans le même élan que moi, il m'embrasse. Chose absurde : pendant notre baiser, je me demande si j'ai un cœur de naine. Le chose se vérifie lorsque, le sourire aux lèvres, je retombe sur mon oreiller et m'évanouis.


Chapitre 14
La lettre,
ou, une déclaration d'amour
fait toujours plaisir venant
de la personne dont on
se consume d'amour pour elle.

Lorsque je me réveille à nouveau, je suis seule. Où presque. Le ballon vert que Nikaji tenait dans sa main avant de serrer Maénie dans ses bras flotte, là, devant moi. Au bout d'une ficelle qui lui est rattachée se tient un petit bout de papier. Je l’attrape lorsque le ballon passe devant moi. Lorsque je déplie le message, je deviens livide. Le mot est de mon amour, Nikaji.

Chère Astra,

Je sais que tu as dû te poser des questions lorsque j'ai étreint ta tante, qui n'est autre que la pire ennemie de ma mère. Je sais, tu te demande sûrement pourquoi est-ce-que j'éprouve de l'affection pour elle ? En fait, je la déteste. Elle a tué mon père, alors que j'avais 15 ans. Il y a 5 ans, donc. Bref, tout ce que je voulais te dire dans ce message, c'était de ne pas t'en faire, et, que si il y a une personne de laquelle je suis de son côté, c'est bien toi. Dès le premier regard dans ta direction, j'étais fou d’amour pour toi. Or, tu n'avais pas l'air d'éprouver la même chose à mon égard. D'où ce baiser, d'ailleurs. J'avais toujours autant de doutes sur tes sentiments, lorsque tu ma embrassé. Pas un de ces baisers forts, violents que l'on fait juste pour « faire plaisir » à quelqu'un. Non, c'était un baiser inoubliable. Nous nous reverrons très vite, je te le promets.


Je t’aime, Nikaji. 



Chapitre 15
C'est officiel !,
ou, sa mere transpercée
par un poignard, c'est génial.

Waaaaaaaaaaaaaa !
Quelle lettre ! J'en suis toute retournée ! Nikaji, mon amour, mon prince, l'homme de ma vie, vient de me déclarer sa flamme ! On va pouvoir s'aimer pour le meilleur et pour le pire ! Hou-là Astra, calme toi ! Vous n'êtes pas non plus mari et femme, je me dis, en rougissant. Quelqu’un frappe doucement à la porte. Ma mère entre, de sa démarche si élégante, que je lui envie depuis des lustres. Que j'aurais aimé me déplacer si gracieusement ! J'aurais tellement aimé avoir hérité de cette façon de marcher ! Malheureusement, j'ai hérité de la démarche de mon père. Nous ne sommes pas discrets, au contraire de ma mère et de mon frère. Nous ne marchons pas de cette démarche noble, élégante, légère. Non, nous nous déplaçons de cette façon bourrue, lourde, remarquable, bref, pas tip top face à un ministre. Ma mère vient vers moi, et me caresse la joue avec tendresse.
« Alors ? Me demande-t-elle
-Quoi ? Je réponds, incrédule
-Tu t'en est remise ? Continue-t-elle
-Oui, mais je me demande toujours quelle était la chose qui m'est passée dessus.
-Ah, je suis contente que tu ailles mieux. Cette « chose », comme tu dis, c'était Gypsy. Elle ne pas pas vue, et t'a écrabouillée comme une crêpe. Et voilà le résultat., m'explique ma mère
-Pauvre bête quand même ! Je m’exclame. Maénie la contrôle, et la pauvre bête obéis sans rien comprendre ! Je continue
-Certes, me dit ma mère, mais ce n'est pas , de ça que je voulais te parer.
-Ah, mais de quoi alors ?
-C'est officiel ?
-Quoi ?
-Tu as un petit ami ?
-Ah...Oui, c'est Nikaji, dis-je en rougissant.
-Je suis heureuse pour toi, ma puce. Je t'aime très.... commence -t-elle

Elle ne peut pas finir sa phrase, car un poignard la transperce au niveau de l'abdomen. Je hurle.



Chapitre 16
L'arme,
ou la « Nine making »

-MAMAN ! MAMAN, RÉPONDS MOI ! MAMAN, S'IL TE PLAÎT...Maman...
Je m'effondre sur le sol. Mon corps est secoué de tremblements, tellement je suis triste. Ca y est. Les larmes se mettent à culer toutes seules, je ne peux plus m'arrêter de pleurer. Pourquoi fallait-il que l'on s'attaque à ma mère. C'est trop horrible ! Ce n'est pas le moment de se laisser aller au désespoir. Je ravale mes larmes. Je m'approche de ma mère et je lui retire le poignard. Hum....Belle arme. Je la fais tournoyer agilement entre mes doigts. Et facile à manier avec ça ! J’aperçois un petit bouton bleu entre le manche et la lame. J'appuie dessus, et la lame s'agrandit d'au moins un mètre ! Surprise, je manque de lâcher le poignard devenu sabre. C'est là que je vois apparaître 8 nouveaux boutons. Intriguée, j'appuie sur le vert. La lame s'agrandit encore ! Elle doit frôler les 2 mètre ! J'actionne les bouton blanc, et la lame se rétracte d'un mètre cinquante, pour s'élargir de cinquante centimètres. Bon, je presse le bouton noir et là, aussi fou que cela puisse paraître, l'épée se transforme en un arc et flèches ! Il y a 9 flèches au total. Les 9 boutons sont à présent sur l'arc. J'enfonce le jaune, et l'arc et les flèches se transforment en une petite dague qui ne dépasse pas les 20 centimètres. Je teste le bouton mauve, et la dague se transforme en un poignard. Celui qui a tué ma mère. Il est encore taché de sang. J'essaie d'actionner le bouton marron, mais rien ne se passe.Idem pour le bouton rouge. J'essaie de transformer ce sabre en dague. Je passe par toutes les couleurs avant de trouver la bonne et de transformer, enfin, le sabre en dague. Bon, c'est chouette toutes ces fonctions, mais c'est pas pratique pratique.
Je me fais un pense bête que seul moi peut déchiffrer :

Fonctions du sabre


bleu:sabre long

vert:sabre 2 m

blanc:hachoir sabre

noir:arc

jaune:dague

mauve:poignard

marron :?

rouge :?


Voici la traduction :

Fonctions du sabre :

bleu:sabre long
vert:sabre 2 m
blanc:hachoir sabre
noir:arc
jaune:dague
mauve:poignard
marron :?
rouge :?


Chapitre 17
La morsure,
ou la transformations de
la mère d'Astra en Vampyr.,
c'est pas forcément
une bonne idée.

Quelle arme ! Je vais la garder, elle pourrait me servir. Quoi de plus logique que de tuer l'assassin de ma mère avec l'arme qui l'a tuée ? C'est ma logique à moi. Mais l'heure n'est pas aux vengeances, il faut que je retrouve mon père, mes grands parents et mon frère ! Et Nikaji... Je jette un regard en direction de ma mère, que j'ai allongée sur le lit. Elle est si pâle... J'ai du mal à croire quelle soit morte. Finalement, j'ai un point commun avec Nikaji... Ma mère et son père ont étés assassinés. J’écarte une mèche de cheveu du visage de ma mère. Ses yeux expriment de la douleur, de la frayeur et surtout, de l'amour. Ce sont les dernières pensées qu'elle à dû avoir. Là, je n'en peut plus, je me met à crier de toutes mes forces.
Mon père arrive en courant.
« Astra ! Que se passe-t-il ?
-C'est maman, je lui répond

Il jette un œil vers ma mère Il s'approche d'elle et l'embrasse doucement. Il appelle mamie Vamp et papy Pyr. Ils accourent et , en gardant un Neil sur moi et sur maman, ils se mettent à discuter tout bas avec papa. Soudain, mamie et papy se placent chacun d'un côté de maman, et papa vient près de moi et me presse doucement la main, avec son front plissé d'inquiétude. Son regard est celui de quelqu'un qui essaie, je dis bien essaie, de se convaincre que tout va bien se passer. Je m'apprête à poser une question, lorsque mes grands-parents mordent exactement en même temps le cou de ma mère.



Chapitre 18
La chambre dorée,
ou comment se réveiller dans
une chambre, avoir faim et
rencontrer une « serrial killeuse. »

Je me réveille dans une pièce. Entièrement dorée.Je suis sur un immense lit, d'au moins trois mètres sur cinq, doré lui aussi ? Des pierres d'ambre scintillent sur le mur d'or, et des boiseries dorées ornent la pièce. Je tente de sortir de mon lit, mais je n'y parviens pas. C'est comme si un champ magnétique/magique voulait m'empêcher de sortir du lit. Ben mince alors, comment j'ai fait pour me fourrer dans un endroit pareil ? Je ne sais même pas où je suis, qui m'a amenée ici et surtout, depuis combien de temps je suis endormie !!!!!!!
Et maman ? Comment va-t-elle ?

Est ce qu'elle est vivante ? Si oui, comment va-t-elle après la morsure qu'on lui a faite ? Comment vont mon père, mon frère, mes grands-parents ? Et Nikaji ? J'essuie ma joue humide. Je me suis mise à sangloter sans m'en rendre compte. Je remarque un plateau sur la table, au fond de la pièce. Dessus sont disposés des croissants, une tasse de ..de café sûrement, vu la couleur, encore fumante, une mini corbeille de fruits, un graaand verre d'eau et 2 ou 3 cachets de médicaments. Je dois être malade.... Mon ventre gargouille. J'ai si faim !!!! Quel dommage que je ne puisse pas me lever pour rapporter le plateau ici, pour déjeuner dans le lit, bien au chaud sou ma couette douillette !!! Je me love au creux du lit, m'enroule de la fine couverture et m'enfonce dans l'oreiller. Lorsque j'émerge du pays des songes, le réveil indique 13h00. Cela fait cinq heures que je dors. Le café a refroidi, et les croissants aussi. Je retente de sortir de mon lit, le ventre grondant de plus belle, m'attendant à ce que je sois bloquée par le champ magique, quand, surprise, je sors un pied, puis deux, puis trois...Heu non, je sors mes deux pieds, puis mon corps tout entier glisse hors du lit. Je m'avance vers le plateau, lorsque quelqu'un rentre doucement dans la pièce.. C'est une femme menue, élégante, vêtue d'une robe fendue pourpre au décolleté un peu trop prolongé à mon goût, et une parure de saphirs coulant autour de son cou. Ses cheveux blonds sont relevés dans un chignon parfait. Soudain, je pousse un ci. La femme a des yeux rouges sang, des dagues accrochées autour de sa cuisse et elle a des canines pointues !!!!!


Chapitre 19
Un manoir en maillot de bain ?
Ou comment penser à la séduction
dans un moment critique.

Elle s'approche de moi d'une démarche féline. Je recule et bute sur le lit. Je suis terrifiée. Soudain, elle bifurque vers le plateau de petit déjeuner. Elle remue les doigts, et là, magie, de la fumée sort de sa main et vient frapper les aliment. La femme repart sans un mot. Je me lève et me dirige vers le plateau. Huuuuuuum, quel délicieux petit déjeuner !!!!! Le ventre bien rempli (j'ai moi-même du mal à croire que j'ai TOUT avalé), je vais prendre une douche bien chaude dans la salle de bain cachée derrière une porte.Petite, la porte. Une fois lavée et habillée des habits se trouvant dans la salle de bain, je m’assois sur le lit. Mais où est ce que je suis tombée ? C'est pas possible, comment je fais pour m'attirer dans des endroits pareils, avec des vampires muets et je ne sais quoi d'autre ??????
Soudain, une vos féminine retentit dans la pièce. Je sursaute, et je m'aperçoit qu’il y a des haut-parleurs qui sont descendus du plafond.
« Mademoiselle Astra Mora est convoquée au bureau de Mr Origan. Mlle Gang va venir chercher l'invitée. »
Une fraction de secondes après la fin de la phrase du haut parleur, la fille vampyr de tout à l'heure passe la tête par l’entrebâillement de la porte et me signe de la suivre.
On se dirige vers une immense porte en bois, sculptée un peu partout. Mon dieu, mais quel genre d e personne vais-je trouver là dedans ?

La porte s'ouvre (toute seule, évidemment), et je me retrouve en maillot de bain. Un peu trop sexy , le maillot. Si seulement Nikaji me voyait dedans !!!!! Bref. Je me retrouve donc en maillot de bain, et la vampyr me pousse dans le dans. Je perds l'équilibre, et tombe.....Dans un piscine !


Chapitre 20
Un pervers et une sirène,
ou comment fendre un piscine
en deux avec une queue de thon.

Je descends au fond du bassin. L'eau chlorée est bleue turquoise. Il n'y a personne d'autre que moi dedans. Je ferme les yeux. Mais qu'est ce que c'est, cette fois ? Je m'assois sur le sol tiède au fond du bassin. Je repousse le sol et remonte à la surface. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis toujours aussi seule, mis à part que la vampyr flotte au dessus de l'eau. Je la questionne :
« Où sommes nous ?
-Dans le bassin.
-Merci, j’avais remarqué, mais pourquoi me donner rendez-vous dans une piscine ?
-Mr Origan est un voyou, il aime les jolies filles en maillot de bain.
-Mais c'est horriblement pervers !!!
-Oui, je sais bien. Il doit y avoir des combinaisons de plongée quelque part au fond de l'eau.
-OK. Bon, je n'ai pas le choix. Si j'ai bien compris, j 'ai deux solutions : Ou je discute avec un vieux pervers lorgnant su mon petit maillot de bain, ou je nage jusqu’à bout de souffle por trouver des combinaisons de plongée.
-C'est ça.
-Ben, ben j'y vais, à tout à l'heure !!! »
Sur ces mots, je remplis mes poumons d'air et je plonge. Le bassin est devenu très profond. Je dois bien descendre de 7 mètres avant de trouver une combinaison à ma taille. Je remonte à la surface et rejoins la vampyr et enfile la combi. Moulante. Très moulante. C'est pas possible, ce sale type est pervers jusqu'au bout !!!!!!!

Soudain, je sens mes jambes se....Volatiliser. C'est très étrange comme sensation. La combi craque au niveau des jambes. Je vois des écailles. Dites moi que ce n'est pas vrai. Une queue de poisson. La combi disparaît de mon tronc. Génial. Je reste en maillot de ce côté là. Le pervers à poussé le bouchon trop loin. Une sirène, bon sang, un sirène. La colère monte en moi, et je m'élève dans les airs.L'eau se sépare un deux et me suis dans les airs. (lol, je fais comme Moïse!!!). Je lance mon pouvoir de toutes mes force. Soudain, j'étouffe un cri. Non, ce n'est pas possible, pas lui, non !!!!!!


Chapitre 21
Nikaji ,
ou comment penser
manger un bon repas
et se retrouver en train
d'éponger le sol .


« Nikaji, à taaaaable !
-Oui Jason, j'arrive !!! »
Cela fait maintenant 3 mois que je vis avec Jason, le frère d'Astra. Nous avons étés obligés de nous cacher (Un peu comme Anne Franck mais pas tout à fait....) dans une petite grotte souterraine, sous …...La Tour de Pise, oui, vous avez bien entendu. Nous avons étés poursuivis par l'énoooorme aragne de maénie, et nous avons pris un billet pour l'avion qui partait le plus rapidement possible. Un avion en destination de Rome, capitale italienne . Super. Nous qui habitions dans une petite ville de Bretagne, en France. L'aragne n'a pas pu nous suivre. Elle ne sait ni nager, ni voler, heureusement pour nous !!!! Je pense souvent à Astra. Comment va-t-elle ? Et puis ses parents, ses grands-parents ? Ses amis ?
" Nikaji, je vais manger ta part si tu ne depêche pas !!!!!
-Oui , oui, j'arrive. »

Je me dirige vers la cuisine, et, au moment où mon champ de vision arrive au niveau de l'encadrement de la porte, je vois Jason, appuyé contre le mur, en train de cracher du sang. 


J'espère que cette histoire vous plaît, 
et que ce nouveau chapitres vous 
ont fait passer par toutes les émotions.

TanakaCloarec